Bonjour-bonjour
Ça devait arriver : un pays européen (la Grande-Bretagne en l’occurrence), en plein déclin démographique voit sa population augmenter du fait de l’immigration.
En un an, les décès ont dépassé les naissances de plus de 16300 – et pourtant :« En dépit de ce déficit des naissances, la population britannique a connu sur la même période une augmentation spectaculaire de 662 400 habitants, du jamais-vu depuis le début des recensements modernes en 1971 » (Lu ici)
L’article cité conclut logiquement : « C’est donc l’immigration, dans toute sa diversité, qui alimente la croissance démographique britannique ».
Le Grand Remplacement qui n’était qu’un fantasme, est en passe de devenir une réalité, car au-delà des chiffres, c’est l’intégration de ces nouveaux arrivants et la transformation de la culture autochtone qui va suivre.
Dans un pays où une large part des habitants ont voté le Brexit pour reprendre la maitrise des flux migratoires en provenance de l’Europe-Unie, on ne peut que s’interroger. Les migrants polonais où roumains jugés indésirables risquent d’être remplacés par les pakistanais, les syriens les indiens, les afghans, etc…
Là où les dictatures jouent les déplacements de population sans trembler, les démocraties sont plus vulnérables. Comment sauvegarder les valeurs ancestrales (comme les valeurs « républicaines » chez nous) et en même temps protéger les libertés publiques des nouveaux arrivants lorsque ceux-ci deviennent majoritaires ? Car, pendant que les anglais descendent au tombeau ce sont bel et bien des jeunes « issus de la diversité » qui les remplacent.
On sait que dans certaines régions canadiennes ont a accepté que le code civil soit remplacé par la charia. De façon plus générale, les sociétés d’origine anglo-saxonne ont joué jusqu’à présent la carte du communautarisme (voire du wokisme) : le jour est peut-être venu pour elles de s’interroger sur le métissage des sociétés, dont pourtant elles ont horreur.
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