Aujourd'hui un Point du jour tout en images : mise au repos des neurones durant le w-e
Bonjour-bonjour
« Le redressement budgétaire de la France passera par le levier des dépenses plutôt que celui des recettes. » C'est en substance ce qu'a réaffirmé Gabriel Attal sur le plateau de France 5 vendredi soir deux jours après l'annonce de 20 milliards d'euros d'économies en 2025
Il va donc falloir de toute façon se serrer la ceinture
Fini donc le « quoiqu’il en coûte » fini aussi les boucliers de toute sorte. On ferme le robinet des dépenses publiques - y compris celui des dépenses sociales, comme celui du modèle social français : le Premier Ministre estime pour sa part qu'il « peut être moins coûteux et plus efficace » le chef du gouvernement a laissé la porte ouverte à une réduction de la durée d'indemnisation de l'assurance-chômage.
L’impôt ensuite :
Bruno Le Maire a mis un point d’honneur à éviter toute hausse de taxe ou d'impôts : « Ce qui frapperait la croissance, c'est si on avait le réflexe qui a souvent existé dans notre pays d'augmenter les impôts, a-t-il estimé. Le moyen le plus sûr de freiner la croissance, c'est de taxer. » (Lu ici)
Selon le Grand Colbert « L'art de l'imposition consiste à plumer l'oie pour obtenir le plus possible de plumes avant d'obtenir le moins possible de cris. »
Comment ça va marcher ?
Je ne sais pas encore. Mais ce que je sais c’est que la facture, c’est nous qui allons la payer. Après tout, l’État, c’est nous.
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