mercredi 27 juillet 2022

Le pire ennemi de l’homme : c’est l’homme – Chronique du 28 juillet

Bonjour-bonjour

 

Les enquêtes visant à établir l’origine du coronavirus continuent, opposant les tenants de l’origine animale à ceux qui pensent que le virus a « fuité » hors d’un laboratoire de Wuhan (lire ici). Malgré les difficultés pour valider l’une ou l’autre de ces hypothèses, les efforts continuent : c’est qu’il s’agit avant tout de savoir si la Chine a lancé – même involontairement – une guerre bactériologique. 

Symbole (au centre) de la guerre biologique voir ici

Je dis : involontairement, car on assisterait alors à une attaque dont elle serait la première victime. Dans une guerre, la difficulté principale est de ne pas être victime des attaques lancées contre l’ennemi. De même que les gaz de combats ne peuvent être utilisés qu’à condition que le vent ne souffle que dans la direction de l’ennemi, et que les attaques nucléaires ne produisent pas de nuages radioactifs revenant sur le territoire du pays qui utilise la bombe – de même les virus destinés à infester l’adversaire ne doivent pas venir ravager le pays d’origine. C’est d’ailleurs l’échec de cette condition qui fait penser que la Chine n’a pas voulu lancer une telle attaque.

Toutefois, on peut toujours imaginer que le coronavirus soit un « virus de combat » et donc de profiter de sa diffusion pour en étudier les effets particuliers. Une guerre bactériologique est en effet une guerre qui vise à frapper les hommes sans distinction de classe ni de pays ni de sexe ou tout ce qu’on voudra. Guerre aveugle et cruelle elle est interdite par tous les traités internationaux, mais ne nous faisons pas d’illusion : toutes les nations qui sont en mesure de trafiquer des virus fabriquent des agents pathogènes destinés à éradiquer des hommes – tous les hommes. 

- L’hypothèse est donc que la nature ne pourrait pas produire un tel virus et que l’ingénierie bactériologique est nécessaire. Et en effet, en dehors de ses capacités naturelles à muter et à infecter des cellules humaines afin de s’y reproduire, le coronavirus a encore cette faculté extraordinaires de toucher des organes aussi différents que le nez, les poumons, le cerveau, les… testicules, etc (voir ici). L’indice de l’origine artificielle vient donc du fait qu’on croit la nature incapable de produire un virus aussi mortifère.

Le pire ennemi de l’homme : c’est l’homme.

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