Bonjour-bonjour
Dans plusieurs grandes villes allemandes des statues de femmes en bronze présentent une étrange décoloration au niveau de la poitrine :
La statue "La jeunesse" de Brême, "Juliette Capulet" à Munich et "la femme du Rhin" à Berlin (de gauche à droite).
BFM commente ainsi ces images : « Sur les poitrines de ces femmes de bronze, on peut nettement voir des traces de décoloration. Elles sont dues aux nombreuses mains qui s'amusent à toucher les seins des statues ». (Lire ici)
Les mouvements féministes ont placé derrière ces statues de femmes dont les seins sont décolorés à force d'avoir été touchés de grandes pancartes mentionnant : « Le harcèlement sexuel laisse des traces. »
On reste incrédule devant de tels faits : un comportement aussi puéril peut-il exister de la part d’individus masculins : se peut-il qu’à l’âge adulte la libido masculine soit excitée par un sein de bronze ? On se rappelle que Brassens chantait « Corne d’aurochs », un personnage un peu attardé qui « sur les femmes nues des musées/ ô gué-ô gué/ faisait l’brouillon de ses baisers/ ô gué-ô gué. » Oui, mais ce n’est qu’une chanson.
Plusieurs réactions : l’une amusée dira que les hommes qui pelotent les statues laissent au moins les femmes en paix. Les autres, comme nos féministes allemandes, y verront la preuve que le harcèlement sexuel est si répandu chez les hommes qu’ils ne laissent même pas les statues tranquilles.
Sacrés cochons… Mais, dites-moi, vous n’avez pas entendu parler du gisant de Victor Noir au cimetière du Père Lachaise ?
Regardez-le bien :
On le voit : les dames aussi seraient pulsionnelles au point d’aller se frotter le frifri sur la protubérance généreuse du défunt. (1) - Il est vrai que la tradition racontait alors qu’en faisant cela elles accomplissaient un rite de fécondité.
Hummmm….
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(1) D’ailleurs, est-il si mort que cela ? On se rappelle que les carabins chantaient Saint Eloi, qui selon eux n’était pas mort « Puisqu’il bande encore »
Mais ça, c’est une autre affaire
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