vendredi 3 mai 2024

Sacrés cochons… - Chronique du 4 mai

Bonjour-bonjour

 

Dans plusieurs grandes villes allemandes des statues de femmes en bronze présentent une étrange décoloration au niveau de la poitrine :

 


La statue "La jeunesse" de Brême, "Juliette Capulet" à Munich et "la femme du Rhin" à Berlin (de gauche à droite).

 

BFM commente ainsi ces images :  « Sur les poitrines de ces femmes de bronze, on peut nettement voir des traces de décoloration. Elles sont dues aux nombreuses mains qui s'amusent à toucher les seins des statues ». (Lire ici)

Les mouvements féministes ont placé derrière ces statues de femmes dont les seins sont décolorés à force d'avoir été touchés de grandes pancartes mentionnant : « Le harcèlement sexuel laisse des traces. »

 

On reste incrédule devant de tels faits : un comportement aussi puéril peut-il exister de la part d’individus masculins : se peut-il qu’à l’âge adulte la libido masculine soit excitée par un sein de bronze ? On se rappelle que Brassens chantait « Corne d’aurochs », un personnage un peu attardé qui « sur les femmes nues des musées/ ô gué-ô gué/ faisait l’brouillon de ses baisers/ ô gué-ô gué. » Oui, mais ce n’est qu’une chanson.

Plusieurs réactions : l’une amusée dira que les hommes qui pelotent les statues laissent au moins les femmes en paix. Les autres, comme nos féministes allemandes, y verront la preuve que le harcèlement sexuel est si répandu chez les hommes qu’ils ne laissent même pas les statues tranquilles.

Sacrés cochons… Mais, dites-moi, vous n’avez pas entendu parler du gisant de Victor Noir au cimetière du Père Lachaise ?

Regardez-le bien :

 

 

On le voit : les dames aussi seraient pulsionnelles au point d’aller se frotter le frifri sur la protubérance généreuse du défunt. (1) - Il est vrai que la tradition racontait alors qu’en faisant cela elles accomplissaient un rite de fécondité.

Hummmm….

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(1) D’ailleurs, est-il si mort que cela ? On se rappelle que les carabins chantaient Saint Eloi, qui selon eux n’était pas mort « Puisqu’il bande encore »

Mais ça, c’est une autre affaire

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