vendredi 5 décembre 2025

Drones russes : bravo les gars ! – Chronique du 6 décembre

Bonjour-bonjour

 

- Dans l’air : 5 ou 6 drones suspects ; 

- En bas, la base ultra secrète des sous-marins nucléaires français et un bataillon des fusiliers marins qui assure la protection de la base, qui ont effectué plusieurs tirs anti-drones ;

- Résultat : drones abattus = 0 ; identification = 0

 


Ça se passait jeudi soir, on était en France dans un lieu ultra-sensible où chaque touriste est prié de ne faire aucune photo sous peine de sanction. Raison pour la quelle des fusiliers marins spécialisés dans la chasse anti-drones étaient là.

- Conclusion : ou bien on on n’a pas su nous préparer à la chasse aux drones ; ou bien ceux-ci constituent une arme très difficile à contrer et dont l’impunité appelle une parade urgente. 

 

On parle constamment des « guerres du futur » auxquelles nous devons nous préparer dès aujourd’hui. Mais il s’agit là de la guerre d’aujourd’hui à laquelle il fallait se préparer hier.

Si nous ne l’avons pas fait, c’est sans doute que les drones sont des armes extrêmement difficile à neutraliser, comme le prouve chaque jour la guerre d’Ukraine. Pourquoi ?

On avance que les drones sont plus évolués que les armes chargées de les combattre, qui sont encore en évolution. On ajoute aussi qu’ils sont une arme peu couteuse qu’on ne peut contrer qu’à un prix très élevé : on peut sans inconvénient en sacrifier un grand nombre tout en espérant faire passer quelques unités qui vont réussir la mission.

- S’agissant de la base de sous-marins nucléaires français on devine que la mission était de déstabilisation ; mais qu’elle aurait pu, tout aussi bien frapper la base, ce qu’aucun système d’attaque n’aurait pu réaliser jusqu’à aujourd’hui.

 

Le citoyen français se retourne vers son gouvernement et demande : « Qu’avez-vous fait avec nos impôts ? »

- Il est vrai qu’en France on se rappelle ce qu’il en a coûté en 1940 d’être en retard d’une guerre.

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