Le débat sur
le bien-fondé de cette mesure, promesse de campagne d'Emmanuel Macron, a aussi
été relancé par une récente tribune dans laquelle quinze organisations, dont
l'Union nationale des étudiants de France et l'Union nationale lycéenne, se
disent hostiles à "un service national obligatoire" - voir ici
Certains diront : un mois ? Ça ne servira à rien, c’est beaucoup
trop court !
D'autres - comme moi - diront : Un service national ? Voilà le retour de l’imbécilité des
casernes et de la bêtise au front bas. Partout où on impose des valeurs on
récolte la misère intellectuelle.
Bientôt un
nouvel Ami Bidasse :
… et la Madelon ?
Ous’qu’elle est, la Madelon ?
Bref, on
l’aura compris, l’obsession macronienne de conférer des valeurs à la jeunesse
et de lui donner le gout de la transcendance m’est odieux, qu’il soit recherché
dans l'Eglise par le nouveau Chanoine de Latran – ou dans les casernes par
le chef des armées..
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