Theresa May a
proposé aux parlementaires, de choisir entre une sortie sèche de l'Union
européenne ou un report du Brexit le temps que de nouvelles négociations aient
lieu.
Désormais,
l'idée serait de faire voter les citoyens britanniques sur du concret, et en
l'occurrence l'accord qui serait trouvé entre Londres et Bruxelles. "Et
c'est aussi pour certains le seul moyen de s'en tirer sans un no deal".
Les opposant
l’affirment : « Les partisans de ce scénario veulent faire voter les
gens entre le fait de rester dans l'Union européenne et l'accord de Theresa
May », mais bien d’autres hypothèses sont également envisageables, comme
le montre la suite de l’article (lire ici)
Tout
reposerait sur une simple décision des députés des Communes ? La fameuse
question de la frontière entre l’Irlande du nord et celle du sud serait donc si
facile à trancher ? Et les déchirements qui traversent le pays ainsi que
ses principaux partis politiques si aisés à raccommoder ? Et quand le
pouvoir des députés se concrétiserait par un dessaisissement au profit du
peuple via un nouveau référendum, qu’est-ce que ça changerait ? Les
citoyens auraient donc une idée meilleures que celles qui ont germé dans les
cerveaux des élus depuis 2 ans ?
Oui, bien
sûr : car le peuple souverain a le pouvoir d’effacer ce que sa
souveraineté a décidé, comme de quitter l’Europe Unie en 2016. Plus de Brexit =
plus de problèmes avec les irlandais. Mais peut-être pas avec les anglais ou
les gallois qui ne peut plus supporter de voir la tronche d’un polonais ou d’un
roumain et qui seraient fort dépités par une telle solution.
Donc le
cauchemar politique sera d’imaginer un nouveau référendum qui duplique le
résultat de celui de 2016.
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