samedi 26 février 2022

Le pire n’est pas certain – Chronique du 27 février (2)

Bonjour-bonjour

 

Poursuivant ma recherche de nouvelles revigorantes pour ce dimanche matin je reviens bredouille (après tout de même la bonne nouvelle détaillée dans le post précédent).

Du coup j’en viens aux formules habituelles, celles qu’on attribue avec ironie à « la sagesse des peuples » : « Le pire n’est pas certain » 

- Oui, Monsieur Poutine pourrait rappeler ses soldats et rendre aux Ukrainiens leur liberté en leur disant : « Voilà, c’était seulement pour donner un peu d’exercice à mes armées ; la fois précédente, c’était en Géorgie. La prochaine fois on ira du côté de la Moldavie »

 

Humm... Pas sûr du tout. Mais ce n’est pas une raison pour désespérer. Car si le pire n’est pas certain alors « il n’est que probable »

Ça ne vous rassure pas ? Pourtant vous êtes habitués à raisonner en termes de probabilité depuis que le covid nous a envahi. Habitués à savoir que si vous n’avez que 20% de chances de l’attraper et grâce, au vaccin, que 5% de risque d’entrer en réa ; et 2% de probabilité d’en mourir, alors tout va bien ! A vous les dance-floor toute une nuit joue à joue avec une belle blonde au souffle rauque...

 

Parce que oui, sous la guidance des sciences nous ne vivons qu’à coup de probabilités. Et si nous voulons mieux, alors allons voir des voyants extra-lucides.

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