«Alors que
les taux d'obésité et de problèmes émotionnels chez les enfants augmentent,
comprendre leur co-occurrence est un problème de santé publique important, car
ils sont liés à une mauvaise santé à l'âge adulte».
Près de 8%
des enfants étaient cliniquement obèses à l’âge de 14 ans. À ce moment-là, ils
étaient deux fois plus atteints d’anxiété et de sentiments qui caractérisaient
une «mauvaise humeur». (Lu ici)
J’énumère :
problèmes émotionnels, anxiété, mauvaise humeur, mauvaise santé parvenu à l’âge
adulte. Rien que ça !
Comme le dit
l’article cité, la perte de poids ne se fait pas simplement en mangeant moins
et en faisant du sport, dans la mesure où elle est liée à tous ces
troubles : si le surpoids entraine ces troubles de l’humeur, ceux-ci et
retour accentuent la dépendance à la nourriture.
Alors, à quoi
ça va servir de savoir tout ça, si on ne peut en tirer un moyen de lutter
contre ? L’avantage de cette découverte est-il seulement d’expliquer
comment le mental intervient dans l’obésité, non seulement comme origine mais
aussi comme effet ?
- Seulement
tout cela est contrintuitif. On était habitué à considérer les
« gros » comme des gens plutôt sympathique, de bonne humeur et
engendrant autour d’eux la joie de vivre.
Patatras !
Les voici
grincheux, angoissés et suant la maladie. Brrrr !!!! De quoi entretenir le
« racisme anti-gros » dénoncé comme une discrimination injuste.