Bonjour-bonjour
Alors que Monseigneur Aupetit profite de son temps désormais libre pour retrouver son amie et guide spirituelle, le Pape revient sur les motifs qui l’ont amené à accepter la démission de l’archevêque de paris.
Après avoir rejeté les commérages (ce sont ses propres termes) qui ont déclenché cette affaire, le souverain pontife a évoqué « un manquement au sixième commandement » (« Tu ne commettras pas d’adultère »), « pas total mais des petites caresses et des massages qu’il faisait à sa secrétaire ». « Ça, c’est un péché. Mais ce n’est pas le péché le plus grave, car les péchés de la chair ne sont pas les plus graves. (Lu ici)
Les petites caresses et les massages sont des péchés de chair : comme tels ils ne sont pas très graves, mais ce sont quand même des péchés - Voilà le décret du Pape et il doit nous faire réfléchir, nous tous, pauvres pécheurs.
- Tiens, justement, il y en a un qui aurait dû s’en méfier : c’est Georges Tron, définitivement condamné à rester en prison pour viol digital sur une employée de la commune dont il était le maire (lu ici). Or il a toujours clamé son innocence, affirmant qu’il ne s’était livré qu’à des massages de réflexologie plantaire. Mais écoutons le Pape François : nul massage n’est innocent ! Même sans être un homme d’Église qui a juré de ne jamais se livrer à des actes lubriques, des stimulations des plantes de pied sur une dame peuvent fort bien déraper et finir par des attouchements sexuels – après tous, ça se situe bien entre les deux pieds ?
C’est sans doute ce que Georges Tron a dû dire pour sa défense... mais il n’a pas été entendu.
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