Bonjour-bonjour
Chacun voit midi à sa porte comme on dit…
Ainsi de la baisse des naissances qui suscite une inquiétude bien légitime : nos enfants, ce sont nos protecteurs de demain. Tout le monde en convient, seulement lorsqu’il faut trouver une parade alors là les avis divergent.
- Les uns sont bien connus : « C’est avant tout socio-économique. Les enfants, ça coûte cher », analyse DR Sophie Defert, cheffe de service de la maternité de l’hôpital de Mont-de-Marsan (Lire ici).
- On peut aussi estimer que les congés parentaux sont un levier suffisant pour encourager la natalité : ce que veut faire le gouvernement.
- Mais supposez que vous soyez un(e) écologiste radical(e) : vous ne verrez pas du tout les choses de la même façon. « S’alarmer de l'infertilité sans s'intéresser aux causes, comme les insecticides et pesticides, fallait oser. » Oui, vous avez bien lu : si la France fait de moins en moins de bébés, ce n’est pas faute d’essayer, mais parce qu’on mange trop de fruits et de légumes chargés en pesticides. (Lu ici)
- Ça y est ? On a fait le tour du sujet ? Mais non – pas du tout. Car voilà les femmes qui crient a viol : le pouvoir ne cherche-t-il pas à gouverner leur utérus en exigeant qu’elles procréent et pour cela en s’arrogeant le droit d’agir sur lui ? (Art. référencé)
On croit que le bon sens de ces gens est sévèrement affecté. Mais si cette diversité d’opinion ne révélait pas du tout des analyses divergentes du sujet ? S’il s’agissait surtout pour chacun de montrer comment son engagement permettait de voir le monde ?
Mais ne sommes-nous pas comme eux : à regarder le monde par le trou de notre serrure ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire