Bonjour-bonjour
Avec l’augmentation de la taxe sur l’électricité qui va provoquer une augmentation de cette énergie de 10%, on découvre que le gouvernement nous a menti.
Lors de la mise en place du « bouclier tarifaire », on nous avait dit que l’État prenait en charge une part de nos factures d’électricité.
Et naïvement, nous avions cru qu’il sortait des coffres de Bercy la somme que nous aurions dû payer et dont il nous exonérait. Or voilà que l’augmentation d’aujourd’hui ne provient pas de la fourniture d’électricité qui quant à elle est orientée à la baisse, mais de la taxe due à l’État et dont nous avions été exonérés du temps du bouclier : la réduction consentie pour nous protéger ne correspondait pas en l’occurrence à une somme déboursée, mais à une somme non-encaissée.
Ce qui veut dire aussi que de protecteur, l’État devient également prédateur, puisqu’en prenant notre défense, c'est de son appétit d’ogre qu'il nous a protégés. En sorte qu’il correspond à ces cannibales qui engraissent leurs futures victimes avant de les sacrifier pour les dévorer. « Continuez à travailler et à équiper vos logements de pompes à chaleur et autres équipements voraces ; je passerai glaner les dividendes d’ici quelque temps ».
Protecteur et prédateur : joli tour de passe-passe.
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