« Dix
personnes sont mortes dans une fusillade dans un lycée de Santa Fe, au Texas,
et dix autres ont été blessées. Le tireur serait un élève du lycée, âgé de 17
ans. Son nom a bientôt filtré: Dimitrios Pagourtzis. L'adolescent, qui faisait
partie de l'équipe de football américain de l'école, était victime de
harcèlement. Les entraîneurs le harcelaient et l'insultaient et il n'avait pas
beaucoup d'amis » (Lu ici)
C’est
désormais chose acquise : aux Etats-Unis, lorsqu’un élève est victime de
brimades dans son école, il prend un fusil et il tire dans le tas. A ce compte
on va continuer encore longtemps à compter les morts et les blessés – à moins
de trouver un exutoire qui permettrait à cette jeune victime d’évacuer sa
rancœur sans faire un carnage.
Par exemple,
installer à l’entrée du bâtiment un tableau électronique sur le quel
s’afficherait un texte vengeur permettant aux harcelé de dénoncer ses
harceleurs : « John Eliot de 4ème 2, vous informe que
Irwin Mitchell et son ami Gomez sont des salopards et des lâches, des connards
de trou du cul. Moi, John Eliot, je leur ch*** dessus »
Ce n’est pas
très élégant, mais si la paix est à ce prix, c’est quand même mieux que de
priver les américains de leurs armes pour éviter que leurs enfants règlent leur
compte avec ça.
Ça ferait
tellement de peine à la NRA…
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