Bonjour-bonjour
Et si le problème de l’égalité des sexes devait inclure les discriminations dont souffrent les hommes ?
Vous ne me croyez pas ? Voyez ceci :
Dessin de Dupé
Saisissant, ne croyez-vous pas ?
Affabulation ? Tentative de détourner l’attention à propos du sort des femmes ? Occasion de valoriser le fantasme (bien masculin) de la voisine à poil devant sa fenêtre ? Peut-être… ou pas. Car n’est-ce pas là ce qui se passe – à des degrés bien entendu moindres – dans la réalité ?
Bien sûr, les hommes ne sont jamais dans la situation du monsieur du dessin, sans quoi ils seraient en effet coffrés en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. En revanche, les femmes ont un pouvoir de séduction évident dont elles ont fait usage depuis les temps immémoriaux et qu’elles n’ont jamais réellement abandonné. On pense bien sûr aux Femens, mais la beauté féminine n’est-elle pas souvent cultivée à partir de stimulations sensuelles - voire sexuelles ?
Mais pourquoi y auraient-elles renoncé ? Car, l’asymétrie évoquée dans ce dessin relève peut-être d’une disposition de la nature humaine, portée par les instincts ancestraux nécessaires à la propagation de l’espèce ? Si les mâles sont à l’affut des femelles qui stimulent leur libido, celles-ci sont aussi à la recherche du mâle capable de les féconder ; ce qui signifie qu’il ne s’agit pas de voir quelle est la longueur de la bistouquette, mais bien les rondeurs musculeuses du fessier capable de propulser ce bazar dans le fond de la matrice. (1)
Vous ne me croyez toujours pas ? Regardez plutôt à quoi ressemble un fessier masculin galbé dans un de ces bon vieux 501 :
Affolant, n’est-ce pas ?
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(1) Une anecdote venue de Diderot : « M. le président de Brosses aimait les femmes et allait voir des filles. Le petit président, qui n’est guère plus grand qu’un Lilliputien, dévoila à leurs yeux un mérite (sic) si étonnant, si prodigieux, si inattendu, que toutes en jetèrent un cri d’admiration. Mais quand on a beaucoup admiré, on réfléchit. Une d’entre elles, après avoir fait en silence plusieurs fois le tour du merveilleux petit président, lui dit : « Monsieur, voilà qui est beau, il en faut convenir ; mais où est le cul qui poussera cela ? » Diderot - Salon de 1767
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