Bonjour-bonjour
Le magazine Elle consacre cet article aux nouveaux rapports entre homme et femme depuis #meetoo. On y trouvera les principaux points sur les quels ont été sondé(e)s les femmes et les homme d’aujourd’hui, nous contentant de nous arrêter sur la question de la galanterie.
--> Comme le montre ce sondage, alors que les femmes les plus engagées dans le féminismes restent hostiles aux attentions et gestes de bienveillance venus des hommes, jugés infantilisants et humiliants, une majorité de femmes – y compris les plus jeunes – constatent que « les femmes restent attachées à ce qu'elles perçoivent plus comme une forme de respect et de bienveillance que comme une forme de sexisme incompatible avec le féminisme » (Sondage à retrouver dans l’article cité)
Humiliant ? Infantilisant ? Faut-il donc en arriver là ? Les sondages disent que non, attitude que la professeure de lettres féministe Jennifer Tamas résume parfaitement dans « Peut-on encore être galant ? » (éd. Seuil, en librairie le 6 septembre), un texte bref et engagé dont la conclusion offre une synthèse implacable : « Au lieu de sexualiser la galanterie, il faut galantiser le sexe pour le rendre plus ludique, plus respectueux et plus joyeux. »
« Galantiser le sexe » : je note. Ainsi il serait galant que les messieurs aident leur compagne à retirer leur petite culotte le moment venu. Ou qu’ils lui permettent permette de parvenir en premier à l’orgasme avant eux-mêmes (ce qui d’après de ce que sais n’est pas la conduite habituelle).
Stop ! Arrêtez donc de me taper dessus- c’est une féministe qui dit ça – pas un affreux phallocrate !
D'ailleurs je vous laisse imaginer les gestes de galanterie plus joyeux et plus ludiques à inventer dans cette circonstance : ça fait partie des fantasmes de l’amour
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