« Entre 2002 et 2004 Claude Guéant a été directeur de
cabinet de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur. Durant cette
période, monsieur Guéant a été accusé de s'être versé des primes en espèce qui
normalement étaient destinées à récompenser des policiers méritants. Non
seulement il en a gardé une partie pour lui, mais en plus, il en a distribué
quelques-unes à ses collaborateurs au cabinet qui ont été aussi
condamnés. » (Lu ici)
Un ministre en prison ! Voilà qui fait sensation !
(Même si le juge d’application des peines aménagera sans doute la sienne pour
le dispenser d’un tel séjour).
Quoique… Ce qui fait encore plus sensation, pour ceux qui
ont suivi sa carrière, c’est que cet homme était dans les années 90 un parangon
de vertu, un Incorruptible qui n’aurait jamais pu piquer dans la caisse comme
il l’a fait en 2002 avec une très grande facilité. Ceux qui le connaissent
évoquent la venue de problèmes dans sa vie privée entrainant « un attrait pour l'argent qui a été au-delà
de la loi » (Article cité)
Peut-être… Mais moi, dès qu’on évoque un personnage aussi
sévère que Claude Guéant, voilà que mon inconscient se réveille et me
submerge de fantasmes :
Je vois, je vois…Claude Guéant, en sarrau noir d’écolier, la
culotte baissée et basculé sur les genoux de la maitresse d’école, tandis que
celle-ci lui administre une vigoureuse fessée-déculottée. Bien sûr dans la
réalité il s’agit d'une mise en scène avec la participation de
professionnelles rétribuées avec l’argent réservé aux policiers méritants
(ici : nouveau fantasme – on est au bord de l’explosion)
Oui, un tel homme ne mérite sûrement pas d’aller en prison,
puisqu’on l’imagine accomplissant sa peine sous forme de « travaux
d’intérêt collectifs » - par exemple aide soignant en EHPAD, ou remplaçant
la dame-pipi de la gare saint Lazare. Quoiqu’une telle punition risque bien de
lui donner l’envie de recommencer !
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