Des éoliennes « contra-rotatives » - Chronique du 5 septembre

Bonjour-bonjour

 

Lundi, début septembre… C’est la rentrée avec ses promesses de renouveau, de regain d’énergie, de dynamisme. Et hop !

L’actualité n’est pas en reste, avec cette annonce venue de Norvège : une start-up de là-bas vient d’officialiser la mise en service de nouvelles éoliennes off-shore qui pourraient complètement éclipser les projets actuels pourtant déjà impressionnants : elles pourraient atteindre 400 mètres de haut pour une capacité de 40 MW ! « Ces turbines verticales contrarotatives pourraient améliorer radicalement le rendement et réduire le coût de l’énergie des projets éoliens offshore flottants ; ce dernier pourrait être inférieur à 50 dollars par mégawatt, selon les représentants de la société. » (Lire ici)

Ces monstres des mers ressemblent à ça :

Art. cité

 

– Je vous laisse le plaisir de découvrir par vous-mêmes les caractéristiques originales de ces turbines qui, le problème de stockage une fois résolu, pourraient fournir enfin l’énergie renouvelable indispensable dans cette période de transition énergétique – conservant pour ma part la question du rôle de l’évolution technologique dans la crise écologique actuelle. 

L’un des aspects du conflit entre écolo et non-écolo est aujourd’hui celui de la confiance qu’on peut ou non accorder à la technologie pour répondre au désastre environnemental : les uns affirment que ce qui a été détruit par le progrès sera reconstruit par un progrès suivant ; les autres refusent d’entendre parler de la moindre confiance qu’on pourrait accorder à l’action technique de l’homme sur la nature. 

Il me semble que ces nouvelles éoliennes viennent sur le terrain de la moindre empreinte environnementale prouver que les plus hautes évolutions technologiques sont à même de résoudre ces problèmes. Et cela non pas dans un futur incertain, comme pour la fusion nucléaire, mais tout de suite.

Un peu de progrès tue ; plus de progrès ressuscite.