mardi 16 octobre 2018

MONDIAL DE L’AUTO 2018 : UN PEU MOINS DE MONDE, MAIS TOUJOURS N°1

« Il n’empêche que l’achat automobile n’est pas qu’un acte de raison. Lié à l’automobile, il y a toujours une dimension affective, émotionnelle très forte. Sinon les gens n’achèteraient pas de SUV ; mais de petites autos, et les plus économiques possible !  » (Lu ici)

Ah ben oui ! Vous avez l’air malin monsieur avec vos dépliants 3008 ou GLC Mercedes




Oui, une petite auto toute moche mais capable de rendre le même service que celui qui serait demandé à la grosse voiture, pourquoi chercher plus loin ?

Alors déjà il faut rappeler que la voiture est un marqueur social. Aux Indes le petit modèle automobile Tata considérée comme trop « cheap » a été boycotté par une clientèle qui n’avait pourtant pas trop de moyens pour acheter d’avantage. Porté sur cette logique, rien n’empêche alors d’intégrer le désir de paraitre dans le motif d’achat de la voiture.
Pour éviter que le prix d’achat soit un obstacle les constructeurs on mis en place un système de Location : « Vous n’avez pas 60000 euros ? Vous aurez bien 300 euros par mois »

Evidemment, dans  l’affaire c’est la planète qui paye l’addition. Elle, quelque soit le mode de payement, elle en caisse le CO2 émis que ce soit du CO2-propriétaire ou du CO2-locataire.
Et puis, pas la peine de dire : « Après moi le déluge ! » - car le déluge, c’est ici et maintenant.

Demandez aux habitants de l’Aude.

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