jeudi 11 octobre 2018

PARIS : ENQUÊTE OUVERTE SUR UN POSSIBLE VIOL ENTRE ÉLÈVES DE MATERNELLE

Une fillette de 4 ans agressée par 3 garçons du  même âge qui l’auraient déshabillée et fait subir  une « pénétration digitale ». Lu ici.
Ici, pas le temps de rigoler: l'info doit rester dans sa brutalité  
Perversion limitée à un cas exceptionnel ou bien effet de la corruption exercée par la diffusion de la pornographie sur le net ? Je pencherais plutôt pour la seconde hypothèse sans savoir si je traduis par là un pessimisme plus ou moins grave.
Car ce qui se montre c’est, comme avec la pornographie ordinaire, l’indifférence totale à l’égard d’autrui. Qu’importe ce qu’il ou elle ressent ? Qu’importe que les sentiments soient joués ou ressentis vraiment ? L’autre n’est plus qu’un objet – ou comme le disent crûment les partenaires du porno : « un bout de barbaque » – dont la seule qualité est la disponibilité.

Une fois qu’on aura pleuré un bon coup sur l’horreur des gestes dont cette petite fille a été victime, songeons à la situation dans son ensemble – y compris les garçons de 4 ans – et imaginons que c’est là, dans ces situations, qu’ils apprennent à vivre ensemble.
Et c’est là qu’on peut tirer les mouchoirs.

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