lundi 1 octobre 2018

MACRON POSE AVEC UN HOMME FAISANT UN DOIGT D'HONNEUR ET RÉPOND À LE PEN

Le chef de l'État répond ce dimanche 30 septembre à Marine Le Pen, qui dénonce une photo sur laquelle il a posé la veille avec deux jeunes hommes dont un fait geste déplacé.



« Le premier jeune sur la photo, chez qui il s'était invité, est récemment sorti de prison pour braquage et il l'avait enjoint samedi 29 septembre à trouver du travail. Le second, qui fait le geste déplacé, "est en CAP, il fait des études", a précisé Emmanuel Macron, dont l'objectif, dit-il "est d'aider cette jeunesse". "On ne tirera rien des discours de haine", a poursuivi le chef de l'État, et "il faut arrêter de penser que notre jeunesse, parce qu'elle est d'une certaine couleur ou à un moment a fait des bêtises, il n'y a rien à en tirer", a-t-il insisté. »

« "Marine Le Pen n'est pas avec le peuple", a poursuivi Emmanuel Macron. "Marine Le Pen, c'est l'extrême droite, et l'extrême droite ce n'est pas le peuple. Je suis président de la République et je ne laisserai à personne le peuple", a assuré Emmanuel Macron. » (Lu ici)

Volonté de ridiculiser l’autorité du Président de la République, où reflexe bêta du gamin qui pour se rendre intéressant  fait des cornes derrière la tête du grand-père sur la photo de famille ? Qui le dira ?...
Reste qu’on doit regretter le manque de lucidité de ce jeune homme, qui ne comprend pas la chance que représente cet homme en chemise blanche. Lors d’un cas précédent un jeune chômeur a trouvé d’un seul coup du travail, sans même que le Président ait besoin de « traverser la rue ». Oui, le pouvoir thaumaturgique des rois de France prétendait guérir les écrouelles ; celui de Notre Prédisent guérit du chômage. Autant dire qu’on l’attend un peu partout avec impatience…
Une autre remarque qui trotte dans ma tête : on lit un peu partout que cette rencontre qui n’était pas préparée a eu lieu alors qu’une averse détrempait le cortège. Emmanuel Macron est parti se mettre à l’abri en courant et s’est du coup invité dans un appartement d’un pauvre immeuble d'un pauvre quartier. Son service d’ordre l’a perdu de vue l’espace d’un instant et le voilà sans protection au milieu de ces gens que personne ne connaît et qui auraient pu sans difficulté le malmener.
            - Première remarque : le service d’ordre avait perdu le contact, mais pas les photographes et journalistes accrédités.

            - Deuxième remarque : ce qui manque à la sécurité du Président c’est quelqu’un comme Benalla : lui ne se serait pas laissé semer si facilement !

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