samedi 29 décembre 2018

LES COLLAPSOLOGUES SE PRÉPARENT À "LA FIN D'UN MONDE"

"J'y pense tous les jours" : entre "deuil" et "quête de joie", les collapsologues se préparent à "la fin d'un monde"
Convaincus que la civilisation industrielle court à sa propre perte, ils prônent l'entraide et la sobriété pour se préparer à vivre après "l'effondrement". (1)
Là, on s’arrête et on relit : oui, il s’agit bien de se préparer au lendemain de la fin du monde.
Et moi qui croyais qu’il n’y avait pas plus de lendemain à cette fin que de veille à la Création !
Bref : c’est comme ça, n’en parlons plus.
… Sauf que l’idée est quand même que le monde peut s’effondrer tout en conservant un certain degré d’existence, juste de quoi laisser mijoter dans leur environnement toxique des créatures démunies de tout et livrées à une souffrance sans espoir. Du coup on se dit que le lendemain de la fin du monde, c’est l’apocalypse et que les réprouvées iront rôtir en enfer sans jamais avoir l’espoir d’en sortir, pas même par anéantissement. Car voilà la leçon de ces élucubration : peut-être que le néant est désirable, peut-être que la mort sans lendemain des athées est un espoir plus grand que celui de la vie éternelle.
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(1) On peutlire en effet ceci : « Le monde est menacé, et même déjà secoué, par "une mosaïque d'effondrements". Par un effet de domino, le monde capitaliste, la société de consommation, la civilisation industrielle, tels que nous les connaissons, sont amenés, selon eux, à disparaître, plus ou moins rapidement, dans les toutes prochaines années ».

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