Les exploits de bleus du rugby émerveillent les français : c’est avec des étoiles dans les yeux qu’ils vibrent à leurs performances. Mais hélas ! Les étoiles sont vite remplacées par des larmes quand leur valeureux capitaine est touché à la face par un ennemi bestial qui le fracasse d’un coup de tête.
Comment sauver notre équipe ? Comment lui rendre avec son chef – son âme ?
- Comment réussir à revenir sur le terrain avec une pommette fracturée ? La réponse est la suivante :
C’est de la blague ? Peut-être, mais pas tant que cela : en voyant ce heaume on se dit qu’il irait bien à Capitaine-Dupont, au point que – oui : c’est en chevalier médiéval qu’il apparait pour nous aujourd’hui.
Il y a quelque chose de la bataille médiévale qui transparait dans le matche de rugby contemporain, avec cette mêlée incroyable de lances, épées et chevaux qui apparait dans les représentation de l’époque :
La bataille de Bouvine
La mêlée de rugby n’est-elle pas le même mélange de forces confuses et de règles scrupuleusement respectées ? Car, on ne doit pas s’y tromper : alors qu’on croit voir une bagarre de cour de récréation, il y a des règles très strictes qui gèrent tout cela au point que quelques centimètres dépassés provoquent une pénalité.
Oui, la chevalerie est peut-être le seul exemple que nous ayons pour saisir ce qui fait la force du rugby : il s’agit de la soumission à la loi de la force brute – soumission sans la quelle ces matchs ne seraient plus que des bagarres de rue.
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