Atteint
d'exstrophie vésicale, un britannique a bénéficié d'une greffe de pénis
réalisée à partir de prélèvements sur son avant-bras et d'un implant en
silicone.
Pour
construire le greffon du pénis, les chirurgiens prélèvent de la peau, des nerfs
et des muscles de l'avant-bras de leur patient, ainsi qu'une veine de sa
cuisse. Prélèvements auxquels ils donnent une forme de tube pour mimer
l'apparence d'un pénis, que les chirurgiens attachent ensuite à son bas-ventre.
Enfin, une pompe en silicone est insérée dans la greffe pour gonfler le membre
et obtenir une érection à chaque fois que le patient l'active.
Lu ici
Ah ! Quels progrès magnifiques réalisés par la
médecine : alors que le transhumanisme nous parle sans cesse d’homme
augmenté, de durée de vie indéfiniment prolongée, de capacités extraordinaires,
voilà que, timidement, quelqu’un avait levé le doigt et avait demandé :
« Et moi, qui suis né sans pénis, vous pourriez tout simplement faire que
je puisse enfin copuler avec une dame ? »
Et la médecine lui répond fièrement : « Pas de
problèmes : un petit bout de bidoche prélevé sur votre bras, un petit bout
de cuisse, beaucoup de silicone et hop ! En avant la musique ! »
o-o-o
le transhumanisme est en marche
et bientôt les femmes désireuses d’égalité avec les hommes auront leur pénis
gonflable greffé juste au-dessus du clito ! Quant aux messieurs qui ne se
contenteraient pas de ce que la nature leur a donné, ils pourraient avoir un
vagin artificiel, et puis aussi une paire de nibards à tétons érectiles qu’ils
pourraient caresser sans déranger personne.
Quant à moi, j’ai ce qu’il me faut merci, je ne suis pas en
demande de ces bricolages douteux…
Quoique – si, quand même, j’avoue que j’aimerais posséder ce
système de pompe à silicone qui regonfle le membre lorsqu’il deviendrait
flaccide. Oui, ça me serait super-utile… mais ne le répétez surtout pas !
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