mardi 3 juillet 2018

NÉ SANS PÉNIS, UNE GREFFE VA LUI PERMETTRE D'AVOIR DES RAPPORTS SEXUELS

Atteint d'exstrophie vésicale, un britannique a bénéficié d'une greffe de pénis réalisée à partir de prélèvements sur son avant-bras et d'un implant en silicone.
Pour construire le greffon du pénis, les chirurgiens prélèvent de la peau, des nerfs et des muscles de l'avant-bras de leur patient, ainsi qu'une veine de sa cuisse. Prélèvements auxquels ils donnent une forme de tube pour mimer l'apparence d'un pénis, que les chirurgiens attachent ensuite à son bas-ventre. Enfin, une pompe en silicone est insérée dans la greffe pour gonfler le membre et obtenir une érection à chaque fois que le patient l'active. Lu ici

Ah ! Quels progrès magnifiques réalisés par la médecine : alors que le transhumanisme nous parle sans cesse d’homme augmenté, de durée de vie indéfiniment prolongée, de capacités extraordinaires, voilà que, timidement, quelqu’un avait levé le doigt et avait demandé : « Et moi, qui suis né sans pénis, vous pourriez tout simplement faire que je puisse enfin copuler avec une dame ? »
Et la médecine lui répond fièrement : « Pas de problèmes : un petit bout de bidoche prélevé sur votre bras, un petit bout de cuisse, beaucoup de silicone et hop ! En avant la musique ! »
o-o-o
le transhumanisme est en marche et bientôt les femmes désireuses d’égalité avec les hommes auront leur pénis gonflable greffé juste au-dessus du clito ! Quant aux messieurs qui ne se contenteraient pas de ce que la nature leur a donné, ils pourraient avoir un vagin artificiel, et puis aussi une paire de nibards à tétons érectiles qu’ils pourraient caresser sans déranger personne.
Quant à moi, j’ai ce qu’il me faut merci, je ne suis pas en demande  de ces bricolages douteux…

Quoique – si, quand même, j’avoue que j’aimerais posséder ce système de pompe à silicone qui regonfle le membre lorsqu’il deviendrait flaccide. Oui, ça me serait super-utile… mais ne le répétez surtout pas !

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