Les tâches
ménagères peuvent impliquer une exposition à des agents chimiques ayant des
effets nocifs potentiels sur le système respiratoire.
D'après
l'enquête, au fil des années, une diminution significative de la capacité
respiratoire, particulièrement chez les femmes, apparaît à cause de
l'irritation : une baisse de 3,6 millilitres par an pour celles qui pratiquent
le ménage à domicile et de 3,9 millilitres par an pour celles qui travaillent
comme femmes de ménage.
C'est-à-dire qu'une utilisation régulière de produits
d’entretien équivaut à fumer 20 cigarettes par jour, soit un paquet, sur une
période de 10 à 20 ans.
En revanche, aucun effet indésirable notable n'a été détecté chez
les hommes. (Lu ici)
o-o-o
Supposez que
vous lisiez cet article : vous commencez à hausser les épaules, et vous
vous dites : « Encore une de ces enquêtes bidon, soi-disant
documentée par des recherches scientifiques… aussi rigoureuses que celles qui
établissent que le ginseng redresse les libidos vacillantes ».
Et puis, vous
arrivez à la dernière ligne : « Aucun effet indésirable notable n'a
été détecté chez les hommes ». Et là, vous vous dites : « De
deux choses l’une : ou bien ça veut dire que les hommes ne font pas
suffisamment le ménage pour être intoxiqués par les produits utilisés ; ou
bien il s’agit d’une caractéristiques propre à l’espèce, induisant une
résistances chez les mâles à exposés à cette toxicité. »
Comment les
femmes ne se sont-elles pas déjà emparées de cet argument pour mettre leurs
maris à la tâche ménagère ? N’est-ce pas parce qu’elles mêmes considèrent
que ce serait dévaloriser leur puisant compagnon ? Que les hommes qui
consentent à mettre les mains dans l’eau de vaisselles devienne vite-fait des
lopettes ?
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