Les représentants de la diplomatie américaine ont expliqué « la posture et les déterminants » de l’administration Trump et estimé que la dissuasion à l’égard de Téhéran était désormais rétablie.
La « désescalade » est aussi, désormais, une demande américaine, et la lutte contre l’organisation État islamique (EI) doit rester une priorité. Ce qui importe est donc de convaincre rapidement les autorités de Bagdad de la nécessaire poursuite des activités de la coalition internationale contre Daesh, rapporte un porte-parole. Lire ici
Bref : tout le monde est pour la modération … sauf l’Iran. Imaginons : dans la cour de récré, un instit un peu irritable met une retentissante paire de gifles à Kévin qui vient de faire on ne sait quelle bêtise et lui dit : « Kévin, tu es un bon gars si tu te tiens tranquille à présent » Bien sûr Kévin n’aura aucune envie d’être un « bon gars » dans pareille condition. Hé bien l’Iran c’est pareil.
En effet, ne sommes-nous pas entrain de spéculer comme si les dirigeants de ce monde étaient tous des diplomates, très soucieux de réserver la violence armée aux cas limites où la négociation a échoué et où une brève et raisonnable attaque peut ramener les adversaires à la table des pourparlers ?
- En réalité, sauf si la violence subie produit une sidération totale, on imagine que les iraniens se répartissent en deux groupes : ceux qui sont entrain de concocter des agressions contre les américains et ceux qui s’apprêtent à les applaudir.
- En réalité, sauf si la violence subie produit une sidération totale, on imagine que les iraniens se répartissent en deux groupes : ceux qui sont entrain de concocter des agressions contre les américains et ceux qui s’apprêtent à les applaudir.
Car il faut aussi savoir que les dirigeants politiques sont d’abord des hommes ou des femmes livrés à leurs émotions et que, si leur pouvoir est suffisant pour qu’ils soient libres de négliger les propos de leurs conseillers, alors ils réagissent comme des enfants dans la cour de récré.
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