« 21 % des femmes qui déclarent devoir souvent se dépêcher dans leur travail font état de difficultés avec leurs proches. La charge mentale au travail et le débordement accroissent davantage le risque de reproches », souligne aussi Maryline Bèque.
Vous lirez ici le détail, mais moi, quand je lis « charge mentale » à propos des femmes je ne pense pas à celle du travail mais celle de la vie domestique :
On aura reconnu dans cette image un extrait de la BD en ligne « Fallait demander » qui décrit l’épuisement féminin devant la mise en ordre des travaux nécessaires à la maison, étant entendu que les maris sont des lâches qui font semblant de s’y intéresser tout en se mettant à l’abri de leur incompétence : imaginez un peu un homme repassant ses chemises ou passant proprement la bâche dans la cuisine !
Mais je crois que selon cette BD, peu importe : quand bien même l’épouse aurait le mari modèle capable d’exécuter les tâches ménagères quand on les lui demandes ; quand bien même elle aurait une femme de ménage pour ça : il lui resterait cette tâche organisationnelle qui fait qu’elle se sent épuisée avant même d’avoir mis le pied par terre le matin. Et puis être le chef qui commande le mari, ça ne tente pas beaucoup de femmes – d’avantage séduites inconsciemment par la virilité de leur compagnon ? Peut-être…
- Alors, voilà qu’on lui en demande autant au travail, et que ce redoublement des soucis ne peut que l’épuiser d’avantage, d’autant qu’elle ne peut comme les messieurs se détendre au retour à la maison avec la bonne conscience du devoir accompli en sirotant son whisky devant la télé : car voilà qu’en plus elle se trouve accablée de reproches à son retour (article cité).
Comment se fait-il qu’il n’y ait pas plus de femmes pour changer de sexe ?
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